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Le Saint-Esprit – Les 28 croyances adventistes par Ted Wilson #5 [VIDÉO]

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Salutations, mes amis. Aujourd’hui, nous allons parler d’une personne très importante, qui est invisible et pourtant bien réelle : Dieu le Saint-Esprit, la troisième composante de la divinité.

La cinquième croyance fondamentale des adventistes du septième jour explique le Saint-Esprit de la manière suivante :

« Dieu, l’Esprit éternel, a pris avec le Père et le Fils une part active à la création, à l’incarnation et à la rédemption. Il a inspiré les écrivains de la Bible. Il a rempli de puissance la vie du Christ. Il attire et persuade les êtres humains ; ceux qui répondent favorablement, il les régénère et les transforme à l’image de Dieu. Envoyé par le Père et le Fils pour être toujours avec ses enfants, il dispense ses dons spirituels à l’Église, lui donne la puissance nécessaire pour rendre témoignage au Christ, et en harmonie avec les Écritures la conduit dans toute la vérité ».

Une nuit, il y a près de 2 000 ans, Jésus a dit à Nicodème, comme le rapporte Jean 3.5 : « En vérité, en vérité, je te le dis, à moins de naître d’eau et d’Esprit, on ne peut entrer dans le royaume de Dieu ». Jésus faisait référence à la nécessité du baptême d’eau et du Saint-Esprit. Expliquant le fonctionnement du Saint-Esprit, il a poursuivi : « Le vent souffle où il veut et tu en entends le bruit, mais tu ne sais pas d’où il vient, ni où il va. C’est aussi le cas de toute personne qui est née de l’Esprit ».

Une part importante de l’action du Saint-Esprit consiste à nous convaincre de nos péchés, à nous amener à la repentance et à transformer notre vie pour qu’elle ressemble à celle de Jésus. En parlant à ses disciples du Saint-Esprit, Jésus a dit en Jean 16.8 : « Quand il sera venu, il convaincra le monde en ce qui concerne le péché, la justice et le jugement ». Puis il a poursuivi en disant : « Quand le défenseur sera venu, l’Esprit de la vérité, il vous conduira dans toute la vérité ». Une tâche importante du Saint-Esprit est de nous aider à comprendre la vérité que Dieu a révélée dans la Bible. Examinez cette explication puissante de l’œuvre du Saint-Esprit donnée par Ellen White :

« Son œuvre consiste à établir et à maintenir la vérité. Il commence par habiter dans le cœur en tant qu’Esprit de vérité, et c’est ainsi qu’il devient un consolateur. La consolation et la paix procèdent de la vérité ; il ne peut y avoir de vraie paix de vraie consolation dans l’erreur. […] Le Saint-Esprit, dans les Écritures, parle à l’intelligence et grave la vérité dans le cœur ; il dévoile ainsi l’erreur et l’expulse de l’âme ».

En tant que partie intégrante de la divinité, le Saint-Esprit a toujours existé, et la Bible le révèle comme une personne, et non comme une force impersonnelle. Il lutte, comme nous le lisons dans Genèse 6.3 où le Seigneur dit : « Mon Esprit ne contestera pas toujours avec l’homme […] ». Comme indiqué dans Luc 12.12, il enseigne : « En effet, le Saint-Esprit vous enseignera au moment même ce qu’il faudra dire ». Il convainc, comme nous l’avons noté dans Jean 16.8. Dans Actes 13.2, nous le voyons diriger les affaires de l’église.

En Romains 8.26, nous lisons cette belle description : « De même, l’Esprit aussi vient en aide dans notre faiblesse. En effet, nous ne savons pas ce qu’il convient de demander dans nos prières, mais l’Esprit lui-même intercède [pour nous] par des soupirs que les mots ne peuvent exprimer ».

Il inspire, comme l’indique 2 Pierre 1.21 : « Car ce n’est jamais par une volonté d’homme qu’une prophétie a été apportée, mais c’est poussée par le Saint-Esprit ». Et sanctifie, comme le mentionne 1 Pierre 1.2 « la prescience de Dieu le Père et conduits à la sainteté par l’Esprit afin de devenir obéissants et d’être purifiés par le sang de Jésus-Christ ».

Le Saint-Esprit était actif lors de la création, alors qu’il « planait au-dessus de l’eau ». David l’a reconnu lorsque, dans le Psaume 51.13, il s’est écrié : « Ne me rejette pas loin de toi, ne me retire pas ton Esprit saint ! ».

Nous voyons le rôle du Saint-Esprit dans l’incarnation de Jésus-Christ lorsqu’un ange a dit à Marie ce qui suit, comme le rapporte Luc 1.35 : « Le Saint-Esprit viendra sur toi et la puissance du Très-Haut te couvrira de son ombre. C’est pourquoi le saint enfant qui naitra sera appelé Fils de Dieu ».

Jésus lui-même a reconnu l’onction du Saint-Esprit lorsqu’il a lu le passage d’Esaïe 61.1 : « L’Esprit du Seigneur, de l’Éternel, est sur moi parce que l’Éternel m’a consacré par onction pour annoncer de bonnes nouvelles aux pauvres ; il m’a envoyé pour guérir ceux qui ont le cœur brisé, pour proclamer aux déportés la liberté et aux prisonniers la délivrance ».

Peu avant sa crucifixion, Jésus a assuré à ses disciples : « Je vous ai dit cela pendant que je suis encore avec vous, mais le défenseur, l’Esprit saint que le Père enverra en mon nom, vous enseignera toutes choses et vous rappellera tout ce que je vous ai dit ».

À peine 50 jours plus tard, la promesse du Christ à ses disciples s’est accomplie, comme l’indique le récit des Actes 2.1-4 : « Quand le jour de la Pentecôte arrive, ils étaient tous ensemble au même endroit. Tout à coup il vint du ciel un bruit comme celui d’un vent violent, qui remplit toute la maison où ils étaient assis. Des langues qui semblaient de feu leur apparurent, séparées les unes des autres, et elles se posèrent sur chacun d’eux. Ils furent tous remplis du Saint-Esprit […] ».

Plus tard, en Actes 10.38, nous entendons Pierre prêcher à la famille de Corneille, un centurion romain, leur racontant « comment Dieu a déversé une onction de Saint-Esprit et de puissance sur Jésus de Nazareth […] ».

En Romains 5.5, nous recevons l’assurance que « l’espérance trompe pas, parce que l’amour de Dieu est déversé dans notre cœur par le Saint-Esprit qui nous a été donné ».

Tous les disciples du Christ doivent recevoir le baptême du Saint-Esprit, en s’abandonnant complètement à lui et en lui permettant de transformer leur vie. Cette transformation est clairement expliquée dans Galates 5, où, au verset 16, nous sommes exhortés : « Marchez par l’Esprit et vous n’accomplirez pas les désirs de votre nature propre ». Paul oppose ensuite les œuvres de la chair au fruit de l’Esprit, qui est « l’amour, la joie, la paix, la patience, la bonté, la bienveillance, la foi, la douceur, la maitrise de soi ».

Mes amis, le Saint-Esprit est vraiment Dieu avec nous. Il a été envoyé pour nous enseigner, nous guider, nous réconforter, nous encourager et nous transformer. Nous avons le merveilleux privilège d’accepter ce don incroyable. Cependant, le choix nous appartient. Dieu ne s’imposera jamais à personne. Néanmoins, Jésus nous a mis en garde contre les conséquences de la résistance au Saint-Esprit. Dans Matthieu 12.31-32, nous lisons : « C’est pourquoi je vous dis : tout péché, tout blasphème sera pardonné aux hommes, mais le blasphème contre l’Esprit ne leur sera pas pardonné. Celui qui parlera contre le Fils de l’homme, cela lui sera pardonné ; mais celui qui parlera contre le Saint-Esprit, le pardon ne lui sera accordé ni dans le monde présent ni dans le monde à venir ».

Un péché qui ne peut être pardonné – comment est-ce possible ? En effet, c’est par le Saint-Esprit que Dieu nous atteint, nous convainc de nos péchés et nous transforme. Si nous l’excluons, nous avons choisi de couper la communication avec Dieu lui-même. Une telle situation est vraiment déchirante. C’est pourquoi il est si important pour vous, pour moi, pour nous tous, de tenir compte de l’appel lancé dans le Psaume 95 et répété dans Hébreux 4.7 : « Aujourd’hui, si vous entendez sa voix, n’endurcissez pas votre cœur ». Mes amis, je vous invite à accepter ce merveilleux cadeau aujourd’hui !

Si vous souhaitez en savoir plus sur Dieu le Saint-Esprit, je vous encourage à visiter le site adventist.org/holy-spirit.

Louons le Seigneur pour son incroyable don du Saint-Esprit alors que nous prions ensemble. Père céleste, merci que toi, le Fils et le Saint-Esprit travaillez ensemble de manière si magnifique, merci d’avoir créé ce monde, merci de nous avoir créés, merci d’avoir pensé au plan du salut, avant même la création de cette terre, merci d’avoir envoyé le Saint-Esprit pour nous convaincre, nous enseigner, nous aider dans notre travail pour toi, en nous améliorant ; maintenant Seigneur, nous te demandons de remplir nos vies du Saint-Esprit et nous prions pour la pluie de l’arrière-saison du Saint-Esprit, lorsque l’œuvre de Dieu se déplacera si rapidement et qu’alors Jésus pourra revenir ; merci de nous écouter, nous te le demandons au nom de Jésus, amen.

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La revue officielle de la Fédération des Églises Adventistes du Septième jour de la Suisse romande et du Tessin.

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