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Vie professionnelle : Laisse-t-elle la place à la mission de Dieu ?

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En tant que chrétiens, les architectes sont confrontés à certaines difficultés inhérentes à leur métier. Ils ont de longues journées de travail et sont donc peu disponibles pour s’investir dans un ministère. Ils ont du mal à trouver du temps pour leur famille et l’étude de la Bible, alors comment pourraient-ils s’investir dans la mission ? « C’est possible », nous dit un professionnel dans ce domaine.

Dans quel domaine travaillez-vous ? Vous êtes-vous déjà demandé si vos compétences professionnelles pouvaient être utiles ? Dieu vous encourage-t-il à agir, et vous interrogez-vous : « Que puis-je faire en tant que professionnel ? » Pensez-vous être freiné dans votre désir d’agir par les limites inhérentes à votre profession ? Dieu a-t-il un plan pour vous ? Voulez-vous savoir si Dieu peut utiliser des hommes et des femmes dans le cadre de leur profession pour accomplir de grandes choses ? Alors lisez cet article !

Je suis un professionnel dans le domaine de l’architecture et des aménagements urbains. Certaines personnes disent être tellement prises par leur travail qu’elles n’ont pas le temps de s’engager dans un ministère. Depuis l’épisode de la tour de Babel, les architectes travaillent souvent pour assouvir les désirs orgueilleux des hommes et bâtir des gratte-ciel pour les plus fortunés. Comme Nabuchodonosor dans un autre contexte, je pourrais être tenté aussi de dire en regardant par ma fenêtre : « N’est-ce pas là Babylone la Grande, que j’ai bâtie comme résidence royale, par la puissance de ma force et pour l’honneur de ma gloire1 ? » (Daniel 4.27)

Les services des professionnels sont onéreux. Ainsi, ce sont généralement les riches qui en profitent – dans le domaine de l’architecture, ce sont souvent les personnes qui vivent dans de belles demeures, les responsables politiques, les hommes et femmes d’affaires, les responsables de projets artistiques ambitieux, les chefs religieux désireux d’exercer l’autorité qui est pourtant celle du Christ. Les goûts de Salomon en matière d’architecture étaient si coûteux que cela a semé la division au sein d’Israël après sa mort (1 Rois 12.1-20). En dépit de ce triste exemple, ce problème a perduré au point que les juifs ont fini par oublier quel était le but véritable du temple.

Les architectes doivent gérer des budgets, ils sont confrontés à des problèmes de conflits d’intérêt et ils doivent répondre aux attentes de leurs clients. Beaucoup d’entre eux travaillent pour de grands groupes dont l’objectif principal est le profit. Nous avons de longues journées de travail, ce qui signifie que nous sommes peu disponibles et qu’il nous est difficile de nous investir dans un ministère. Nous avons du mal à trouver du temps pour notre famille ou pour étudier la Bible. Ainsi, comment pourrions-nous être de véritables missionnaires ? Certes, nous pouvons témoigner auprès de nos clients et de nos collègues, mais est-ce tout ?

Comment devons-nous donc envisager notre vie professionnelle à la lumière de l’appel de Dieu ? Dieu s’intéresse-t-il à notre profession et aux dons qui sont les nôtres ? Ne préfèrerait-il pas que nous soyons pasteurs, enseignants ou médecins – les seules professions qui ont du sens aux yeux de certains ? Alors pourquoi Dieu nous a-t-il donné les capacités nécessaires pour devenir avocats, comptables, administrateurs, ingénieurs, chimistes, directeurs marketing, etc. ?

Je ne peux pas m’exprimer au nom de toutes les professions, mais j’aimerais partager certaines de mes réflexions et ma conviction que Dieu s’intéresse particulièrement à l’architecture et aux architectes, et qu’il a des plans pour moi dans le cadre de mon activité professionnelle. En fait, Dieu est un architecte ! Il a imaginé et créé le monde de telle sorte que nous puissions y habiter avec lui, et il appelle chacun d’entre nous à être de sages architektōn – le terme grec signifiant « maître d’œuvre » utilisé par Paul dans 1 Corinthiens 3.10.

 

LES PROFESSIONNELS DANS LE RÉCIT BIBLIQUE

Le premier homme que la Bible décrit comme un professionnel et qui était rempli du Saint-Esprit était architecte : il s’agit de Betsaléel, qui a été choisi pour faire les plans du tabernacle et le construire avec d’autres personnes, et pour transmettre son savoir-faire (Exode 31.2,3 ; 35.30-35). La construction du tabernacle avait une grande importance aux yeux de Dieu, et c’est la raison pour laquelle il a collaboré avec des professionnels pour établir les plans et le bâtir. La construction du tabernacle occupe plus de place dans le Pentateuque que tout autre sujet2.

Bien sûr, cette activité professionnelle guidée par l’Esprit n’était pas une fin en soi. Le but de ces professionnels n’était pas de se faire connaître, de tout faire pour avoir un statut social plus élevé ou de meilleurs revenus afin de devenir riches et célèbres. Il ne s’agissait pas non plus de créer des emplois de tisserands et de fabrication d’encens, ni de faire en sorte que l’industrie de l’élevage soit florissante. L’objectif n’était pas de construire un monument national donnant une image sophistiquée de la religion du peuple aux nations environnantes. Enfin, il ne s’agissait pas de construire un lieu propice à la repentance. Non ! L’objectif était bien plus grand. Considéré dans un esprit d’humilité, ce tabernacle et toutes les activités qui y étaient liées décrivaient le plan du salut, le plus grand des dons !

L’architecture n’est pas juste une question d’architecture. Il s’agit de bien autre chose. Et il en est de même pour toutes les professions. Même si nous ne travaillons pas à la construction d’un tabernacle, nous pouvons collaborer avec Dieu de façon à ce que d’autres personnes puissent le découvrir grâce à notre activité professionnelle.

C’est peut-être la raison pour laquelle Dieu a voulu que son Fils soit élevé par un tektōn – le terme grec traduit par « bâtisseur ». Il aurait pu décider que son Fils soit élevé par d’autres personnes – un berger, un prêtre, un agriculteur, des choix plus conventionnels. Mais il a voulu que Jésus apprenne à faire des plans et à construire des bâtiments pour autrui. À la création, Dieu a œuvré pour son peuple en concevant des plans et en bâtissant des lieux pour ses enfants (Genèse 1 et 2), et aujourd’hui il prépare une ville pour que nous y habitions avec lui (Jean 14.1-3 ; Apocalypse 21) ! L’architecture est un sujet qui compte pour Dieu et qui est lié à notre relation avec lui. Cela m’a permis de comprendre qu’il désirait collaborer avec moi dans le domaine professionnel, tout comme il l’avait fait avec Betsaléel et Jésus.

Ellen White nous rappelle que « les hommes [et les femmes] exerçant une profession ont besoin de la sagesse divine3 ». Et Dieu est prêt à la leur accorder ! « Si l’un d’entre vous manque de sagesse, qu’il la demande à Dieu qui donne à tous généreusement et sans faire de reproche, et elle lui sera donnée. » (Jacques 1.5)

Les professionnels mentionnés dans la Bible avaient besoin de la sagesse divine. Prenons l’exemple de Nicodème. C’était un homme qualifié et cultivé qui faisait partie des responsables de la communauté, un « chef des juifs » (Jean 3.1). Pourtant, il avait du mal à comprendre le sens et la nécessité de la nouvelle naissance, alors un jour, au milieu de la nuit, il a voulu rencontrer Jésus – « un maître venu de la part de Dieu » (verset 2) – pour bénéficier de sa sagesse divine. Cette quête lui a permis de défendre des principes de justice devant les autorités corrompues (Jean 7.50,51) et d’avoir le courage d’inhumer Jésus en organisant une cérémonie digne d’un roi (Jean 19.39-42).

Daniel est un autre exemple d’homme qualifié recherchant la sagesse divine. Il a administré deux grands empires – le royaume de Babylone et celui des Mèdes et des Perses. Il faisait preuve d’une grande sagesse qui lui venait de Dieu (Daniel 1.17). En fait, il a certainement contribué très largement à la conception de grands projets architecturaux dont Nabuchodonosor s’est égoïstement attribué le mérite lors de ses réflexions sur le toit de sa maison. En revanche, quand Daniel a un jour regardé la ville depuis sa chambre alors qu’il passait du temps avec Dieu, il a avant tout médité sur ses promesses (Daniel 6.11). Grâce à son attitude, Dieu a pu utiliser les compétences qu’il lui avait données afin de répondre aux prières de son peuple – les mêmes prières qu’il leur avait demandé de faire monter concernant la prospérité de cette ville (Jérémie 29.7) ! Quel bel exemple de Dieu œuvrant grâce à l’activité de personnes compétentes pour faire prospérer son peuple !

 

LES PROFESSIONNELS EN DEHORS DU RÉCIT BIBLIQUE

Mais qu’en est-il des professionnels en dehors du récit biblique ? Nicodème a rencontré Jésus en personne et a rendu témoignage de lui à un moment crucial de l’histoire ! Comment puis-je comparer ma modeste vie professionnelle à cela ? Daniel travaillait au service de rois dans le cadre de prophéties qui se sont réalisées sous ses yeux. Qui suis-je pour imaginer que ma vie professionnelle pourrait avoir un sens particulier en cette période de « la fin des temps » annoncée dans le livre de Daniel (Daniel 8.17) ?

L’expérience d’un groupe de personnes actives professionnellement durant la Révolution française est très instructive. Ellen White décrit le courage et la persévérance de ces personnes – des huguenots fidèles – à l’époque de la Réforme des 16ème et 17ème siècles. Par la grâce de Dieu, leur mouvement de réforme fondé sur la Bible a survécu aux guerres de religion qui se déroulaient en France et au « plus noir des forfaits, le plus atroce des crimes enregistrés par l’histoire, […] le massacre de la Saint-Barthélemy4. » Leur religion avait du sens. En fait, comme les adventistes du septième jour, ils avaient conscience d’avoir une place particulière dans le contexte prophétique. En 1579, un huguenot écrivait : « Nous attendons donc patiemment la fin des 1260 jours au cours desquels domine la grande bête ; après cela, Dieu délivrera son peuple5. »

Beaucoup de huguenots étaient des professionnels qualifiés. Certains d’entre eux exerçaient le métier d’architecte à Paris. D’autres avaient créé de grandes entreprises qui ont ensuite été gérées par leurs descendants sur plusieurs générations, comme la famille Androuet du Cerceau. Leurs compétences professionnelles étaient avérées. En étudiant leur histoire, on découvre qu’ils ont vécu des tensions entre leur foi pour laquelle ils ont été persécutés, bannis et menacés de mort, et leur savoir-faire professionnel grâce auquel ils étaient reconnus et appelés à travailler dans les palais royaux du pays. Leur ferme engagement dans le domaine de la foi agaçait les monarques qui les persécutaient, et pourtant les architectes huguenots continuaient à servir leur roi et leur nation en tant que fidèles témoins6.

Au cours de cette période de dépenses royales fastueuses pour bâtir des palais alors que le peuple vivait dans la misère, les architectes protestants ont lancé des appels à la modération et à la raison au nom de l’intérêt national. Un architecte évangélique a publié la première illustration connue à ce jour d’un logement abordable. Au risque d’être condamné pour hérésie, un autre a mentionné des vérités bibliques dans ses prises de parole sur le thème de l’architecture : « Pour comprendre la vie éternelle et le salut, il faut que les hommes se souviennent que Jésus-Christ, le seul et unique médiateur, est mort pour nous. […] Mais laissons ce sujet aux théologiens et reprenons nos considérations géométriques qui relèvent davantage de la compétence des architectes.7 » Plus tard, ce même architecte a profité d’une discussion sur les proportions idéales pour parler du salut qui vient de Dieu. Il écrit qu’il avait découvert les « proportions divines » mais qu’il n’avait pas le temps de les évoquer en détails dans son ouvrage. Alors il a encouragé les lecteurs à étudier le tabernacle dans le livre de l’Exode !

Cependant, ces artisans n’ont pas pu pleinement mettre en œuvre leurs talents inspirés par Dieu avant 1598, quand le roi Henri IV a signé l’Édit de Nantes qui, pendant un temps, a accordé une certaine liberté religieuse aux protestants. Avant cela, la ville de Paris était paralysée par la récession économique, les guerres de religion, une grande pauvreté et des conditions de vie misérables. Et même si le nouveau roi avait mis de côté les valeurs religieuses qui lui avaient été inculquées pour obtenir la couronne, Dieu a permis que des personnes qualifiées et fidèles puissent agir et transformer ainsi la ville de Paris – puis révolution- ner les pratiques en matière d’architecture dans le monde entier. Ce n’est pas par hasard si le texte de 1 Corinthiens 3.17 figure sur le fronton d’une grande église huguenote de Paris : « Là où est l’Esprit du Seigneur, là est la liberté. »

Voici quelques caractéristiques du ministère de ces remarquables architectes :

  • À une époque où les villes considéraient les fleuves principalement comme des égouts et des voies de communication, ils ont eu l’idée de faire bâtir un nouveau pont (encore appelé Pont Neuf aujourd’hui) permettant de rendre accessible les berges afin de promouvoir la santé publique et le bien-être social.
  • Ils ont créé les premiers jardins publics indépendants de l’Église ou de l’État, qui pouvaient être fréquentés par tous ceux qui le voulaient, quelle que soit leur foi. Plus tard, les architectes catholiques romains ont déploré que les huguenots aient ainsi accordé de l’importance à l’égalité entre les citoyens et au « bien-être des passants8».
  • Ils ont introduit dans les espaces publics des plantes ornementales. Cela n’avait jamais encore été fait en Europe et, au fil du temps, cela est devenu la norme partout en Europe.
  • Ils ont imaginé des stratégies de développement immobilier à usage mixte, dans le but de développer une ville en crise sur le plan économique. Quatre cents ans plus tard, l’architecture de la Place Royale (désormais Place des Vosges) reste un fleuron en matière de développement immobilier.
  • Les huguenots ont dérogé à la tradition selon laquelle les bâtiments devaient être érigés à la gloire des autorités. Ils ont imaginé des projets permettant de stimuler la croissance économique, d’assurer des investissements étrangers et de développer des secteurs d’avenir comme l’industrie du ver à soie.
  • Ils ont choisi des méthodes de construction innovantes et économiques en réduisant la quantité d’ornements en pierre sculptée et en utilisant plutôt le stuc et d’autres techniques similaires qui sont considérées aujourd’hui comme typiquement françaises.
  • Ils ont bâti le premier hôpital public et la première université publique en France où étaient notamment enseignés le grec et l’hébreu afin de progresser dans la compréhension des Écritures. Aujourd’hui encore, cette université que l’on appelle le Collège de France propose des conférences publiques et gratuites.
  • Ils ont voulu que certaines villes servent de refuge pour les huguenots persécutés partout dans le pays.
  • Grâce à eux, le Louvre situé le long de la rive droite de la Seine est devenu un centre artistique majeur. Construit pour service au bénéfice de la nation, il abritait des ateliers de centaines d’artisans, et c’est aujourd’hui encore un musée visité par des millions de personnes chaque année.
  • Conformément à leurs croyances, les huguenots ont créé des espaces de culte radicalement différents pour mieux servir l’Église. Contrairement à ce qui se faisait dans la tradition romaine, les temples huguenots étaient conçus pour mettre l’accent sur les Écritures : de grandes fenêtres en verre brisaient les lignes d’avant-toit pour laisser entrer la lumière et faciliter la lecture, et des séries de sièges étaient aménagées pour l’étude collective et le partage de la Parole de Dieu.
  • Les huguenots ont transformé l’image des villes que les gens avaient à l’époque, et ils ont accordé de l’importance à la qualité de vie. Des architectes anglais comme Inigo Jones se sont rendus à Paris pour découvrir leur travail et mettre en pratique leurs méthodes à Londres, puis dans tout l’empire britannique. En raison de la révocation de l’Édit de Nantes, des architectes et des artisans huguenots persécutés ont fui dans différents pays du monde. Ils ont ainsi pu faire profiter l’Allemagne, l’Afrique du Sud, la Suède, les États-Unis et d’autres pays de leurs compétences. Plus tard, sous Napoléon III (lui-même descendant de huguenots), l’administrateur général de Paris a transformé la ville entière en adoptant leurs pratiques. Cela a ensuite encouragé les grandes villes du monde entier à transformer leurs centres urbains pour améliorer la santé de leurs habitants et la qualité de la vie publique.

Aujourd’hui, nous considérons l’influence qu’ont exercé les huguenots comme acquise. Les livres d’histoire ne font pas toujours le lien entre leur foi et leurs méthodes de travail. Généralement, même les architectes qui étudient à Paris ne savent rien de la foi de ces hommes dont les innovations majeures ont changé notre vie. Pourtant, chaque fois que nous nous promenons le long de la berge d’un fleuve ou que nous nous asseyons dans un jardin public, nous bénéficions du patrimoine que ces hommes qualifiés et fidèles nous ont transmis. Nous sommes les héritiers du travail effectué par ces architectes qui se laissaient guider par Dieu, même au milieu de Babylone.

Certes, des professionnels qualifiés et consciencieux qui ne connaissent pas Dieu peuvent contribuer à changer en bien la vie d’autrui. Mais l’exemple des huguenots montre que Dieu est désireux de nous accorder son Esprit afin de nous aider à transformer la vie de millions de personnes. Leur histoire est semblable à celle de Daniel, qui affirmait que Dieu était la source de sa sagesse et de ses talents (Daniel 2.20-22), même quand il était menacé de mort. Salomon de Brosse, le dernier grand architecte huguenot, a été persécuté en raison de sa foi par la reine qui lui avait pourtant demandé de bâtir son palais. Célèbre pour sa foi et sa persévérance alors même qu’il souffrait de la goutte, on l’a retrouvé mort sur son lit dans une petite dépendance modeste près du Palais du Luxembourg. L’inventaire qui a été fait après son décès en 1626 montre qu’il possédait très peu de choses : quelques meubles, trois livres sur l’architecture, un Nouveau Testament et une Bible de Genève.

Les huguenots reconnaissaient qu’il n’existe pas « de ville éternelle ici-bas » ; pourtant, nous qui vivons dans des villes agréables aujourd’hui, nous sommes bénis par Dieu grâce à ces architectes qui accordaient avant tout de l’importance à la ville « qui est à venir » (Hébreux 13.14). Nous devrions agir de même. Ces hommes nous invitent tous à considérer notre profession à la lumière de cette espérance.

Après tout, « nous sommes son ouvrage, nous avons été créés en Jésus-Christ pour des œuvres bonnes que Dieu a préparées d’avance, afin que nous nous y adonnions » (Éphésiens 2.10).

De Andrew von Maur, titulaire d’un master en architecture et en urbanisme de l’université Notre Dame, située dans l’Indiana (États-Unis). Il enseigne actuellement à la faculté d’architecture et de design de l’université Andrews, à Berrien Spring, dans le Michigan, États-Unis, qui considère cette profession comme un ministère.
Source : Dialogue 32 (2020/2), p. 5-8


  1. Sauf mention contraire, tous les textes bibliques cités sont tirés de la Nouvelle Bible Segond.
  2. Jo Ann Davidson, Towards a Theology of Beauty: A Biblical Perspective (Lanham, Md.: University Press of America, 2008), 26.
  3. Ellen G. White, Counsels on Health (Mountain View, Calif.: Pacific Press, 1923), 321.
  4. Ellen G. White, La Tragédie des siècles, Éditions Vie et Santé, 1992, p. 293.
  5. Ceci a été publié dans un livre de théologie écrit par George Pacard en 1579 ; la partie du livre traitant de l’Antéchrist fut imprimé dans un ouvrage séparé, Description de l’Antéchrist et de son royaume, en 1604. Cité par LeRoy Edwin Froom, The Prophetic Faith of Our Fathers (Washington D.C.: Review and Herald, 1948), II:628. http://documents.adventistarchives.org/Books/PFOF1948-V02.pdf.
  6. Pour d’autres informations très intéressantes sur l’histoire des archi- tectes huguenots, voir Randal Carter Working, The Visual Theology of the Huguenots: Towards an Architectural Iconology of Early Modern French Protestantism 1535 to 1623 (Eugene, Ore.: Pickwick Publications, 2016); Catherine Randall, Building Codes: The Aesthetics of Calvinism in Early Modern Europe(New Cultural Studies) (Philadelphia: University of Pennsylvania Press, 1999).
  7. Philibert de l’Orme, Architecture (Paris: Frederic Morel, 1567), I.ii., 33.
  8. Catherine Randall, Building Codes: The Aesthetics of Calvinism in Early Modern Europe (Philadelphia: University of Pennylvania Press, 1999), 191.
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