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Des obstacles aux possibilités

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Pendant la première semaine de mars, j’ai [Willie] enseigné un cours de pastorale, en Californie. Bien que les États américains situés le long de la côte du Pacifique constituaient l’épicentre croissant de ce qui sera bientôt déclaré une pandémie, aucun des quelque 20 étudiants de cette petite classe n’a exprimé des préoccupations à long terme. Mais à la fin de la deuxième semaine de mars, les écoles primaires, secondaires, post-secondaires et les églises ont commencé à fermer.

Bienvenue à la vie dans un monde de COVID-19, où l’enseignement à distance, l’apprentissage à distance, le culte et l’École du sabbat à distance, ainsi que les réunions de prière à distance sont devenus la norme ! En effet, la vie académique et la vie de l’Église ont subi des changements considérables. Aux premiers signes de la propagation virale, nous avons continué de nous rassembler, tout en étant avertis qu’en raison des nouvelles règles sanitaires, nous ne pouvions rester à proximité les uns des autres. Finies les poignées de main, les étreintes, les repas en commun.

Ces semaines se sont transformées en mois. L’impact sur le culte, la communion fraternelle et la mission s’est fait sentir. Nous, professeurs au séminaire, n’avions pas préparé nos séminaristes – lesquels obtiendraient sous peu leur diplôme – à cette éventualité. Même les pasteurs chevronnés n’étaient pas préparés à ce raz-de-marée déferlant sur nos églises.

Alors que l’année 2020 – année qui défiait l’imagination – cède le pas à l’an 2021, nous sommes convaincus que cette nouvelle norme doit être davantage qu’une simple révision de l’ancienne norme. Elle doit plutôt consister en une révision d’une meilleure normalité. Et cette meilleure normalité doit avoir un impact sur cinq domaines de la vie de l’Église : le culte, la communion fraternelle, le service, la mission/l’évangélisation, et la prière. Selon Actes 2 et 4, ces domaines forment le noyau même de la vie chrétienne. Loin de mettre fin à la vie de l’Église telle que nous la connaissons, la COVID-19 sert en fait un objectif plus important : nous conduire dans la vie de l’Église telle que Dieu la voit.

 

LE CULTE À L’ÈRE DE LA COVID-19 ET AU-DELÀ

La COVID-19 a eu différents impacts sur les gens. Ceux qui auparavant étaient passifs sont devenus actifs dans le culte et le service. Et certains de ceux qui étaient en quête de spiritualité sont devenus spirituels – ils ont pris Dieu très au sérieux.

Selon une enquête Pew1, un tiers ou plus des personnes qui allaient régulièrement à l’église ne se donnent pas la peine de regarder les services en ligne. C’est dire que pour ceux dont l’affiliation à l’église était déjà ténue, la coupure peut être permanente.

C’est ce que nous avons aussi constaté dans les églises adventistes. Parmi celles qui ont ouvert leurs portes aux services en présentiel, on remarque que la fréquentation de l’église a chuté de 30 à 60 pour cent par rapport à celle d’avant la COVID-19.

Il est clair que la manière dont les adventistes pratiquants réagissent à la pandémie dépend en grande partie de leurs expériences passées et de leur situation actuelle. Certains font l’expérience d’un renouveau de la foi, alors que d’autres passent par une crise de foi. En voyant comment Dieu agissait dans leur vie et dans celle de leurs proches, de nombreuses personnes en recherche sont devenues des disciples pleinement consacrés à Jésus. Témoins de la puissance de Dieu et désireux d’approfondir leur relation avec lui, ils ont fait l’expérience d’une guérison miraculeuse. D’autres encore se sont progressivement éloignés de Dieu : découragés, leur foi en crise, ils se sont écartés de leur famille de l’Église.

Ceux qui se sont éloignés de l’Église se classent en quatre catégories. 1) Ceux dont la foi est faible. 2) Ceux qui ont peur d’aller à l’église pour des raisons de santé. 3) Ceux qui se découragent par rapport à Dieu à cause d’une perte pendant la crise (mort d’un être cher, restrictions, etc.). 4) Ceux qui, par commodité, restent à la maison et surfent sur Internet pour croître spirituellement.

Les églises doivent, comme toujours, mettre l’emphase sur deux aspects : faire des croyants des disciples, et évangéliser le monde. Et c’est encore plus vrai aujourd’hui ! Si l’Église veut être équilibrée et fidèle à sa mission, elle doit faire intentionnellement tout ce qu’elle peut pour ramener ses membres et pour assimiler à la vie de l’église ceux qui cherchent Dieu.

En écrivant cet article, nous avons passé en revue la littérature et recherché dans le monde entier des histoires inspirantes d’églises, de pasteurs et de membres pendant et après le confinement. Nous avons découvert qu’environ 10 à 15 pour cent des églises n’ont pas fait grand-chose, pour ne pas dire rien du tout. En revanche, environ 10 à 15 pour cent ont fait beaucoup – visites à leurs membres, présence sur les médias sociaux, études bibliques, tenue de réunions d’évangélisation. Le reste des églises a offert l’École du sabbat et les services de culte via Zoom.

De tout ça, nous avons tiré de nombreuses et précieuses leçons ! Plus les membres en faisaient pour toucher des vies et répondre aux besoins des autres, plus l’église arrivait à maintenir branché sur l’église un pourcentage élevé de ses membres et amis. Chose étonnante, la dîme et les offrandes ont augmenté, parfois même plus qu’avant l’arrivée de la pandémie. En outre, un plus grand nombre des membres d’église sont devenus actifs, notamment dans le domaine de la technologie et des médias sociaux. Nous avons également appris que rien ne peut se substituer aux bonnes vieilles visites et aux efforts personnels et authentiques pour toucher des vies.

Voici donc plusieurs leçons auxquelles les églises feront bien de prêter attention2.

NOUVELLES POSSIBILITÉS : DE MULTIPLES SERVICES DE CULTE

Historiquement, l’Église consacre trois ou quatre heures le sabbat matin à son culte et à ses ministères. Cependant, la pandémie nous a obligés à faire preuve de créativité pour trouver d’autres options, de nouveaux formats, et de nouveaux lieux.

Les pasteurs nous ont dit que la pandémie a créé un réveil spirituel chez de nombreux adventistes, ainsi que des occasions d’être créatifs et novateurs dans la transmission de l’Évangile. De nombreuses églises ont observé une participation en ligne bien supérieure à une participation en présentiel d’avant la crise.

Par exemple, une église à Chicago comptant environ 150 fidèles venant à l’église avant la COVID-19 compte maintenant plus de 1 500 personnes en ligne. Beaucoup cherchent désormais Dieu avec diligence, et trouvent en lui espoir et réconfort.

Hyveth Williams, professeur d’homilétique au séminaire adventiste de théologie, et pasteur de l’église The Grace Place à South Bend, en Indiana, nous a dit que depuis que son église utilise Zoom et diverses plateformes numériques, son auditoire a augmenté de façon spectaculaire. Avant la pandémie, moins de 100 personnes allaient à cette église. Aujourd’hui, environ 22 000 personnes en provenance de presque tous les continents regardent les services religieux chaque week-end. « Dieu fait de grandes choses, a dit Hyveth. Il nous a richement bénis. »

C’est ce qui est arrivé à de nombreuses églises, quelle que soit leur taille. Rodney Mills, secrétaire exécutif de la Fédération d’Upper Columbia, dont le siège est à Spokane, dans l’État de Washington, a dit : « Lorsque les pasteurs ont reconnu que leurs connaissances en technologie étaient très limitées, de nombreux jeunes se sont pointés et ont relevé le défi ! Ils ont créé pour l’église de nombreuses présences sur les différents médias sociaux. Beaucoup de ces jeunes qui étaient inactifs dans les églises sont maintenant très actifs. »

Maintes églises ont commencé à diffuser en continu. Mais ça, c’est le minimum qu’elles peuvent faire. Certaines églises sont présentes sur tous les médias sociaux, tout le temps. D’autres offrent des services de culte à divers moments, comme le sabbat matin, après-midi, et soir. Elles répètent aussi ce cycle le dimanche et les autres jours de la semaine.

NOUVEAU FORMAT : SE FOCALISER SUR DIEU

Après avoir conversé avec de nombreux pasteurs, ce qui en ressort, c’est que tous s’entendent pour dire qu’aujourd’hui, les services de culte doivent être simples, ciblés, et moins longs. Un culte simple, c’est mieux ! Des services ciblés et concis laissent l’auditoire sur sa faim, de sorte qu’il en désire davantage.

Kevin Smith explique : « Nous n’avons qu’un court moment de louanges – environ cinq à sept minutes. Vient ensuite une histoire brève pour les enfants – environ cinq à sept minutes, et un sermon bref et ciblé d’environ 25 à 35 minutes. » Il poursuit : « Raccourcissez le sermon et concentrez-le. Vos auditeurs auront plus de facilité à se souvenir de ses points principaux. »

Le culte, c’est, par définition, une relation avec Dieu et une expérience personnelle et intime avec lui. Le culte prend place lorsque nos coeurs sont touchés par le coeur de Dieu. Par conséquent, pourquoi inclure dans le culte quelque chose qui ne se focalise ni sur Dieu, ni sur l’Évangile ?

Pour chaque élément du service d’adoration, posez-vous la question suivante : « Est-ce que cet élément se focalise sur Dieu ? » Dans la négative, supprimez-le ou placez-le au début du service de culte. Les annonces, le mot de bienvenue aux invités et les salutations mutuelles ont leur place légitime ; cependant, tout ça doit se faire de manière à ne pas détourner l’attention du Seigneur et du déroulement logique de l’expérience de culte.

En simplifiant les éléments dans l’expérience de culte, on crée ainsi l’avantage supplémentaire d’un culte collectif plus ciblé, plus percutant.

Cette expérience de culte doit être édifiante, positive, et pleine d’espoir. « S’il est un temps où les gens ont besoin d’espoir, c’est bien aujourd’hui », dit Moise Ratsara, un pasteur à Kalamazoo, au Michigan. L’organisation d’un comité de culte peut nous aider à rester sur la bonne voie. Ce comité devrait inclure non seulement des personnes talentueuses sur le plan musical, mais aussi des personnes dotées de connaissances en technologie.

 

ON SE RÉUNIT OÙ ?

En raison du manque d’espace, les églises doivent trouver des moyens créatifs pour ramener leurs membres à l’église et pour en attirer de nouveaux. Certaines transforment leur terrain de stationnement en une église du genre « ciné-parc » ; d’autres le convertissent en église qui respecte les règles de distanciation sociale ; certaines tiennent leurs réunions dans la cour de récréation de leur école ; d’autres offrent des services de culte à différentes heures à l’église même, histoire de maximiser le nombre de personnes qui veulent y assister en personne.

Si nous sommes humbles, si nous sommes prêts à être guidés par Dieu et à libérer la puissance créatrice de la congrégation, alors, notre créativité ne connaîtra aucune limite.

 

ET LA PRIÈRE ?

L’efficacité d’un service de culte ne procède pas de l’excellente manière dont le service est dirigé, ni des talents de ceux qui le dirigent, ni de l’impact des sermons. Elle vient de la conviction du Saint-Esprit. La puissance de l’Esprit convainc les coeurs et change les vies.

Au cours de nos recherches, nous avons découvert lors d’observations et d’entretiens que les églises où l’on adore et glorifie Dieu, et où les gens sont changés et transformés, sont des églises qui prient beaucoup. On prie avant, pendant et après les services de culte. Pasteurs, dirigeants et membres prennent le temps, avant l’École du sabbat et le culte, de prier pour tous ceux qui viendront à l’église. Ils demandent à Dieu de manifester sa présence et de faire quelque chose d’extraordinaire au milieu d’eux. Vous voulez améliorer votre service de culte ? Alors, priez beaucoup !

 

ET LA COMMUNION FRATERNELLE ?

En février 2020, l’église à laquelle je [Willie] me trouvais a ajouté un deuxième service de culte, précédé d’un interlude de 30 minutes consacré à la communion fraternelle. Pendant cette demi-heure, ceux qui venaient juste de terminer l’École du sabbat pouvaient rencontrer ceux qui arrivaient pour le deuxième service et déguster des jus de fruits, des boissons chaudes (au Michigan, il fait encore froid en février), des fruits et des bouchées sucrées. Outre ces délicieux en-cas, il y a eu la koinonia – la communion fraternelle – point culminant du temps passé dans la salle à manger, où j’ai eu l’occasion de faire connaissance avec les invités et les amis de la communauté.

Mais après le 7 mars, tout s’est arrêté de façon soudaine et inattendue. Loin de considérer cette nouvelle réalité comme permanente, nous avons dû revoir le concept de la koinonia (communion fraternelle), et par conséquent, réexaminer notre théologie de l’église afin de redéfinir l’église. Et pas seulement de notre église. L’examen du concept de l’église est peut-être la meilleure chose qui soit arrivée aux congrégations depuis belle lurette. 

À court terme, les églises ont eu recours à la technologie Zoom. Les pasteurs et d’autres encore ont rapidement découvert la polyvalence qu’offre cette plateforme. Ses salles de réunion permettent de s’engager individuellement ou de fonctionner avec des groupes plus importants – n’importe où. 

Mais elle comporte, bien entendu, des lacunes ! Certains participants se branchent sur Zoom, mais éteignent leur vidéo pour conserver, jusqu’à un certain point, « l’anonymat ». Ainsi, avant mars 2020, une personne pouvait éviter la communion fraternelle simplement en décidant de ne pas assister aux événements de la congrégation – culte, réunion de prière, activités sociales, etc. Par contre, depuis mars 2020, les fidèles peuvent choisir ce qui fait leur affaire, comme un buffet, en quelque sorte : on entre et on sort de la vie de l’église (la sienne ou d’autres églises selon ce qui fait son affaire, tout en minimisant le contact visuel ou auditif. On peut entrer, tel un voyeur, dans le monde des autres participants tout en exerçant son autonomie en décidant d’activer la vidéo quand ça nous chante. 

La COVID-19 a permis à l’Église d’aujourd’hui d’innover en matière de création d’un environnement pour la communion fraternelle, et de fournir des moyens uniques de communion face à face qui consolident l’Église de Dieu, son corps de croyants. 

Ainsi, l’Église se trouve dans une position unique pour servir les gens comme jamais auparavant. Le fait d’avoir été confinée pendant des mois a créé un désir ardent et une envie de se connecter les uns avec les autres. Les chrétiens peuvent être des instruments pour soulager la solitude et l’isolement de leurs semblables. La classe de l’École du sabbat à laquelle je (Joseph) participe a été mise en ligne au début de mars ; peu après, des croyants qui se sentaient seuls et ne sont pas membres de notre église nous ont trouvés sur Internet. Ils se sont joints à nous, et notre petit groupe leur a apporté la présence et l’amour de Dieu. 

Les premiers chrétiens ont clairement souligné l’importance de la communion fraternelle (Ac 2.42). 

Le concept de koinonia du Nouveau Testament exprime l’idée d’être ensemble en vue d’un bénéfice mutuel. « Veillons les uns sur les autres pour nous inciter à l’amour et aux oeuvres bonnes. N’abandonnons pas notre assemblée, comme c’est la coutume de quelques-uns, mais exhortons-nous mutuellement, et cela d’autant plus que vous voyez le jour s’approcher. » (He 10.24,25, SER) 

Des tas de gens nous ont fait savoir au cours des derniers mois qu’ils se rendent compte que ce n’est pas parce que les portes de l’église ont été fermées pour des raisons de santé que l’église est pour autant fermée. Intellectuellement, ils ont compris que l’église n’est pas un bâtiment. Mais maintenant, sur le plan pratique, ils comprennent que l’église est une communauté engagée dans le culte et la communion fraternelle. La créativité les rapproche les uns des autres tandis qu’ils anticipent un avenir plus lumineux.

Les églises que nous fréquentons représentent d’innombrables autres églises dans le monde entier qui se sont engagées par des moyens uniques à célébrer la communion biblique. Dans nos bulletins, nous soulignons les anniversaires de naissance et de mariage pour la semaine ou le mois ; mais pendant une pandémie, bien des églises sont privées de ces bulletins. La technologie permet alors de combler le fossé : les églises se tournent vers les alertes textuelles et les messages vocaux pour partager les dernières annonces. Il en va de même pour la cérémonie de remise de diplômes. Les jeunes sont très heureux de savoir que le pasteur et les autres se souviennent d’eux lors de ces moments spéciaux de leur vie.

De nombreuses églises ont découvert de nouvelles façons d’exprimer le concept biblique de la communion fraternelle, la koinonia : les membres se rassemblent en caravane près de la maison d’une personne qui célèbre un anniversaire, obtient son diplôme d’études secondaires, ou de ceux qui comptent sur le culte et le repas du sabbat pour jouir de la communion fraternelle, et ainsi, briser leur solitude. En quelques occasions, nous avons même organisé des « showers » pour la mariée à bord de nos voitures dans le stationnement de l’église ! La distanciation physique a été maintenue et des personnes désignées ont recueilli les cadeaux de la part de ceux qui passaient en voiture, puis les ont déposés sur des tables. Ma fille [fille de Willie] et son fiancé se sont mariés en mai 2020. À leur surprise, des gens ont improvisé une réception dans le stationnement, et ont couronné de coups de klaxon leur sortie de l’église. Nombre d’entre eux étaient membres de l’église à laquelle nous sommes allés il y a des années.

Le nouveau coronavirus a accompli pour beaucoup ce que bien des gens jugeaient pourtant impossible. Il nous a montré la véritable définition de l’église et de la communion fraternelle. La communion fraternelle ne doit pas forcément se dérouler exclusivement dans un temple ou dans une maison. Elle est un mode de vie qui consolide chaque individu et renforce le corps participant, créant une vie de souvenirs et des liens unissant les saints.


IL FAUT RECOMMENCER

Ce que beaucoup redoutaient, c’était que le service de culte et la communion fraternelle s’arrêtent en raison de la COVID-19. Les exemples ci-dessus prouvent tout le contraire, car chaque défi offre l’occasion de revoir notre façon d’aborder la vie de l’église. Non seulement les pasteurs et les autres dirigeants ont réinventé la façon de dispenser l’École du sabbat, les réunions de prière, les programmes pour les jeunes, etc., mais aussi ont constaté une assiduité accrue aux services de l’église à des degrés qu’ils n’auraient jamais imaginés, étendant ainsi la portée de leurs ministères.

Puisse-t-il en être ainsi pour votre église ! 

 

De S. Joseph Kidder, titulaire d’un doctorat en pastorale, est professeur de théologie pastorale et de discipulat au séminaire adventiste de théologie de l’Université Andrews. Willie Edward Hucks II, titulaire d’un doctorat en pastorale, est professeur adjoint de théologie pastorale et d’homilétique, et président du Département du ministère chrétien au Séminaire adventiste de théologie.

Source : Adventist World, Décembre 2020


1 www.pewforum.org/2020/08/07/attending-and-watching-religious-services-in-the-age-of-the-coronavirus/ consulté le 8 septembre 2020.

2 Nous ne nous occupons pas de ce que les églises doivent faire pour accroître la sécurité de leurs membres et de leurs visiteurs. Cette information est disponible auprès des départements de santé locaux, régionaux et nationaux.

 

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