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La danse de la joie – Baptême de Lourdes

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Lourdes avait tout pour être heureuse et pourtant elle a ressenti pendant plusieurs années un grand vide en elle. Après un chemin sinueux, elle a croisé la vie d’un danseur qui a apporté une nouvelle cadence dans sa vie. Ce jeune homme lui a présenté ce Dieu qui lui a offert la mélodie du bonheur. Emerveillée par la joie qu’elle découvrait en elle, le confinement aurait pu tout remettre en question. Mais Jésus était là, elle l’a senti, alors elle s’est liée à Lui pour toujours le samedi 3 octobre 2020 à l’église adventiste Vivo à Genève.

Elle le raconte elle-même…

« Lors d’un mariage j’ai remarqué un jeune homme qui dansait très bien. Je ne lui ai pas adressé la parole mais lui a parlé avec ma soeur. Celle-ci est venue me rapporter qu’il aimait bien danser avec les jeunes de son église. Le mot « église » a eu une effet sur mon coeur. Ce fut le pont de départ de mon cheminement vers la vraie vie.

Le lendemain j’ai cherché son profil sur Facebook. J’ai vu qu’il avait écrit un livre, je l’ai acheté et ai demandé à être son amie sur le réseau social. Nous avons alors entamé des discussions au cours desquelles je lui ai fait part de mes questionnements sur Dieu… Jusqu’au jour où il m’a invité à aller à son église, l’église adventiste hispanique au Lignon (Suisse). C’était mon premier contact avec l’église adventiste. 

Ce qui est incroyable c’est qu’à la base je suis issue d’une famille catholique. Mes parents sont catholiques, j’ai été baptisée et ai fait mes communions à l’église catholique. Pourtant, ma famille n’avait pas l’habitude d’aller à l’église le dimanche. Cela ne faisait pas partie de notre vie. On peut dire que nous étions croyants mais pas pratiquants. Alors face à son invitation pour aller à l’église, j’étais hyper partante.

J’y suis allée le 3 août 2019. J’étais stressée car je ne connaissais personne à part ce jeune homme que j’avais rencontré au mariage. Mais je me suis sentie très bien car les gens m’ont accueillie chaleureusement. Ils se sont intéressés à moi.

J’ai aussi rencontré le pasteur Léo qui ce jour-là a prêché sur le thème « Il n’y a pas pire aveugle que celui qui ne veut pas voir ». Et sans jeu de mot, j’ai ouvert les yeux sur ma vie. 

Je me suis rendue compte que j’étais malheureuse et que j’avais un problème avec l’alcool. Ce fut le premier déclic. Je suis retournée à l’église le samedi suivant car j’avais trouvé l’expérience de ce sabbat vraiment cool. Là, j’ai entendu un message qui décrivait notre valeur devant Dieu ». De nouveau, Dieu m’a parlé et j’ai senti que j’avais de la valeur pour Dieu. 

Je pense vraiment que Dieu a mis des personnes sur mon chemin pour m’aider dans mon cheminement spirituel. Puis Il a aussi utilisé les cultes pour me parler. Tout cela réuni m’a donné soif de connaître Jésus. J’ai tout naturellement commencé des études bibliques avec le pasteur Léo.

A la fin de la première étude biblique, en rentrant chez moi, j’ai vécu un truc de dingue ! J’ai senti de la joie et de la paix m’envahir toute entière. J’ai éprouvé un sentiment de bien-être que je n’avais jamais ressenti auparavant. J’étais tellement émerveillée que j’ai écrit à Léo pour lui demander ce qui se passait en moi. Et il m’a répondu « C’est le travail du Saint-Esprit en toi ».

Plus tard, le 17 août 2019, j’ai arrêté de boire de l’alcool. Du jour au lendemain, alors que j’avais une dépendance à l’alcool, j’en buvais tous les jours, j’ai été libérée de cela. Je n’avais plus du tout envie de boire de l’alcool. Ma soif qui débordait dorénavant était une soif de Dieu, de le connaître, de le louer.

Le confinement a été un moment difficile pour moi car toutes les églises étaient fermées. Or moi, j’attends chaque samedi avec impatience pour retrouver mes frères et soeurs en Christ. Ils sont tellement accueillants et chaleureux ! Autour de moi, au quotidien, je n’ai personne avec qui partager ma foi telle que je la vis maintenant. La fermeture des églises a donc été dure pour moi, je me suis sentie abandonnée. J’avais peur de me retrouver seule le samedi. Et contre toute attente, c’est pendant le confinement que ma foi a grandi.

Avant le coronavirus, je savais déjà que je voulais me faire baptiser mais dans mon esprit, j’avais le temps pour cela. Et pendant le confinement, seule avec mon Dieu, j’ai commencé à avoir envie de le rencontrer chaque jour, à chaque instant. Et mes pensées ont évolué par rapport au baptême. Je me suis sentie prête et je n’avais plus de raison d’attendre. J’ai pris le décision de donner ma vie à Jésus. Je sais que j’ai besoin de Dieu dans ma vie. Et je sais que même si j’ai des problèmes, Jésus est la solution.

Confinée seule chez moi, j’ai eu peur à un moment de retomber dans l’alcool car la tentation était plus grande. Mais Jésus était là avec moi et c’est le plus fort. Je ne suis pas retombée dans l’alcool. J’ai expérimenté ma force en Dieu. Il fait partie de ma vie. Il ne me lâche pas et je ne le lâche pas non plus ! »

Si toi aussi, tu veux une nouvelle mélodie dans ta vie, Dieu t’attend. Tu peux notamment le rencontrer dans une église. 

  • Pour trouver l’église adventiste la plus proche de chez toi, clique ici.
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Un bus rouge vif !
Journée d’appréciation des Pasteurs et de sa Famille 2020

Adventiste Magazine

La revue officielle de la Fédération des Églises Adventistes du Septième jour de la Suisse romande et du Tessin.

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